samedi 14 septembre 2013

De l'art de la critique.

Bien que je ne sois pas l'élue suprême de la perfection, et qu'il m'arrive moi même aussi de jouer le rôle de commère du village, plus je vieillis, plus j'y réfléchis. D'abord, je me rends compte qu'en général cela ne m'apporte rien et que d'une façon ou d'une autre, ça arrive toujours aux oreilles de la personne. Dans ces cas là on se retrouve toujours dans des situations inconfortables, à devoir se justifier de ce qu'on a dit. Ensuite, généralement, après y avoir été de mon petit commentaire sur ce que j'aime ou n'aime pas chez tel ou telle personne, je ne me sens pas mieux. Même, pire, je ne suis pas très fière de moi. Je me dis "fuque, je l'ai encore fait".

Depuis que j'ai ouvert ce blog, je m'interroge beaucoup sur les relations en général: d'amour ou d'amitié, professionnelle ou familiale. Et bien que je n'en parle que très peu ici, je me suis souvent trouvée dans des situations où, j'aurai mieux fait de... Fermer ma gueule. Une histoire avec mon beau frère, un ragot sur une collègue, une critique sur un blog, un SMS envoyé à la mauvaise personne, au mauvais moment. Et oui, je te le disais, je ne suis pas parfaite. D'ailleurs, cela nous est déjà arrivé à tous. Seulement, plus je me retrouve dans ce genre d'histoire, plus j'essaye d'éviter ce cas de figure et j'essaye de me demander pourquoi j'en suis arrivée là. Pourquoi à ce moment là, j'ai jugé bon de dire telle chose, telle critique ?

Récemment, j'ai lu un petit encart dans un magazine, justement sur ce phénomène de pestage, sur ce que l'on éprouvait lorsque l'on se lâchait joyeusement sur une personne, ou sur un fait. Ce que cet encart disait, c'était que simplement, nous avions tous besoin de nous rassurer. De nous sentir mieux. De nous cacher derrière notre propre imperfection. De se dire, à la façon dont j'ai commencé d'écrire cet article : "Ok, je ne suis pas parfait(e), mais quand même, je ne fais pas ça, si ? Non parce qu'un tel à fait ci, et une telle à dit ça, et franchement, moi jamais je n'aurai agis comme ça". Et BIM, on vient de tomber dans le panneau. Moi même en écrivant cet article, je tombe dans le panneau (du moins, d'une certaine façon)

Du coup, avec mes voyages sur la blogo, j'ai beaucoup appris de la critique, de ma façon de m'exprimer et surtout de mon "droit de réponse". Je lis souvent des commentaires du genre "si tu n'aimes pas ce que j'écris, va lire ailleurs" et même si la forme n'y est pas, je suis entièrement d'accord avec le fond. Un peu à la façon de la télévision, si tu n'aimes pas ce programme TV, tu zappes, et tu vas pas commencer à regarder en pestant derrière ton écran. Aucun intérêt, on est d'accord. Le principe d'un loisir, est de rester du plaisir. J'en fait d'ailleurs l'expérience depuis 2-3 ans avec Secret Story. Etant grande fan des émissions de téléréalité, sans aucune honte, ma zenattitude a été mis à rude épreuve. Cette année n'échappant pas à la règle : il y avait ce Vincent et cette Alexia, ce couple juste énervant, et TF1 qui poussait le vice avec des tierces personnes. Je sentais la moutarde qui me montait au nez, trouvant ça cruel et machiavélique de la part de TF1 que de rajouter de l'huile sur le feu, et alors que je m'énervais, je me suis dit "Mais pourquoi je regarde ce truc déjà ? Ah oui, pour me faire du bien....". Tu vois le concept ? J'ai zappé et j'ai arrêté de regarder, suivant de loin les derniers potins de l'émission.

Ce que j'essaye de dire, de façon un peu confuse, c'est qu'il y a critique et critique. Le meilleur exemple qui me vient à l'esprit, est la critique professionnelle, celle que tu apprends au cours de français à l'école, comme un journaliste qui devrait écrire un papier sur un restaurant. C'est à mon sens la juste critique. Essayer, de façon psychologue, de parler en bien et en mal d'un restaurant. Trouvant les points positifs et négatifs. Gardant une certaine objectivité. Si je lis dans un journal un critique culinaire écrire : "Ce plat était mal présenté, moi je ne suis pas parfait, mais j'aurai fait ceci de cette façon là", je me dis que le journal ferait mieux de virer son critique.
Et puis, il y a la critique gratuite, le commérage, la méchanceté. Prendre une personne, un blog, un magazine, un membre de sa famille, un collègue, etc..., et le démonter en bonne et due forme. Certaines personnes se cachent derrière de fausses excuses, de la fausse bonne conscience "attention, je critique la façon de tenir son blog, mais j'ai pas jugé son physique". Ou est la différence ? Parler de la façon bonne ou mauvaise de faire une photo, de dessiner, de tenir ses couverts, d'écrire, de parler, etc..., n'est-ce pas une critique aussi gratuite que de dire que cette personne est moche et qu'en plus elle sent mauvais ? On ne sait jamais l'histoire qui est derrière quelqu'un. Seule la compréhension de l'autre devrait primer. L'honnêteté est importante, certes, mais la forme aussi. On devrait toujours se demander : "Pourquoi je fais ceci , a qui cela est-il destiné et est ce qu'après, je me sentirais mieux ? "

Récemment, en faisant des recherches pour le boulot, je suis tombée sur une petite citation de Pinterest qui disait grossièrement "Vas y, tu peux me juger, je t'en prie, fais moi des critiques, mais n'oublies pas d'être parfait après". Je pense que cela résume assez bien ma façon de penser, et que cela devrait être de plus en plus, ma façon d'agir. C'est l'histoire de la paille et de la poutre.

J'ai encore énormément de progrès à faire sur ce chemin là. Je me lâche encore trop facilement sur des personnes qui à mon sens ne mérite pas mon respect. Que ce soit le copain d'une proche qui l'a larguée d'une façon que je juge incorrect ou d'une ancienne manager que je trouve trop tyrannique, je devrais me mordre plus souvent la langue et essayer de comprendre le fond, et puis d'y mettre la forme. Même si parfois, sur le moment même ça fait du bien, je reste persuadée, que sur le long terme, cela ne m'apporte pas grand chose. Et si cela m'énerve vraiment ? Et bien alors, je passe mon chemin.

Quand à cet article, je me suis bien évidemment demandé ce que cela m’apporterait de l'écrire. A qui cela s'adressait , et si cela me ferait me sentir mieux. Et il va de soi qu'au delà du soulagement, j'espère te toucher, te faire réfléchir, amener un débat peut être, sans devoir passer par la case bibliothèque, développement personnel ou Pinterest.

Crédit photo : Pinterest 

19 commentaires:

  1. Je pense aussi qu'il y a une énorme différence entre une critique non construite voire purement gratuite mais que tu formules dans ta tête et la même critique dit tout haut. Dans le dernier cas, je suis bien d'accord si ça te plait pas, tu zappes.
    Par contre, aussi gentille qu'on peut être, je me refuse de croire qu'il est impossible de ne pas émettre un jugement (en pensée) sur ce qui est fait et aurait du être fait.

    Mais finalement à force de clamer que chacun est libre de faire ce qu'il souhaite, j'en suis aussi arrivée à la conclusion que d'autres sont libres d'exprimer ce qu'ils pensent.

    Même si on sait tous que ça ne sert à rien de comparer, même si chacun est libre, on a aussi nos standards et malheureusement on y revient souvent.

    Ok c'est du divertissement et ça ne mérite peut-être pas de s'énerver pour quelque chose qui doit nous apporter du plaisir. Mais d'un autre coté, je me demande si ça serait aussi amusant si il n'y avait pas tout ça justement. Ca crée une sorte d'envie de faire mieux, de se surpasser, de s'améliorer et si la critique n'existait pas, on se contenterait bêtement de rester ce qu'on est ?

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    1. Oui tu as raison.
      Ce serait tenter de supprimer complètement le mal de ce bas monde, et on sait bien que c'est impossible. Seulement ce qui me dérange moi, ce sont les fausses excuses. Comme je dis dans l'article certain(e)s sont doué(e)s pour "la franchise" alors que pour moi, c'est de la méchanceté gratuite. Pour moi, toutes vérités n'est pas bonne à dire. Mais alors on gratifie ces personnes du mot "honnêteté". J'ai une autre définition de l'honnêteté. Etre honnête, c'est aller parler à la personne avec qui on a un soucis, de façon la plus diplomate possible, et sans impliquer l'entourage en premier. Et ce que ce soit sur internet ou dans la vie privée / professionnelle.

      Comme je dis aussi, moi même parfois je ne peux pas m'en empêcher, et je sors mon petit commentaire, mais je ne me sens pas mieux après (par exemple avec mes collègues). Je me sens même très conne, parce que j'en apprend pas plus sur la personne que j'ai "jugée", j'en apprend plus sur moi...

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  2. au taf, on me surnomme "prévost la chieuse" ou "dangerous prevost" parce que justement je l ouvre en grand (et des fois, même si dans le fond j ai raison, dans la forme je vais trop vite)
    mais ce coté grande gueule aura permis de devenir la "chef" de file d une assemblée trop anxieuse de son avenir.
    on vient me voir pour un conseil, quoi faire dans cette période de trouble
    après je n ai pas la critique facile, mais en général, si ça ne me plait pas, je ne critique pas SAUF si le sujet me choque ou si je l estime en "abus"
    je ne suis pas une gentille loin de là, mais sur la blogo ou les réseaux, je suis une mémère qui ne cherche pas la bagarre au contraire
    alors que dans la vraie vie, je suis la première à jeter les pavés

    je suis sans être celle que l on croit ^^

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    1. Je l'ai ouvert tellement grand par avant et au final je me rendais compte que , comme toi, je me faisais passer pour la chieuse de service.
      Quand j'ai démissionné de mon ancien boulot, le boss m'a dit "mais tu râlais tout le temps", hors que tout ce que je voulais moi, c'était faire avancer les choses.
      Au final, rien n'a avancé, et j'en ai pas été plus heureuse.

      M'enfin ça c'est un autre sujet.
      Ici je voulais surtout dénoncer la critique gratuite et peu constructive. Se cacher derrière une pseudo honnêteté et derrière son imperfection, comme les gens qui disent "ouais mais moi je suis comme ça hein, je suis cash" et ? Tu es avant tout un être humain qui sait réfléchir 2 fois avant de parler à tort et à travers.

      Sinon je vais bien :)

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    2. la critique facile caché derrière un pseudo m horrifie ! souvent c est que cette personne doit être aigrie dans la vie.
      c est pour cela que je ne commente aussi que lorsque c est positif ... parce qu il faut s encourager dans ce monde virtuel là ^^

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  3. Ce que tu dis est tellement vrai et tellement plus fort que nous...
    Depuis que j'ai changé de travail, c'est quelque chose sur lequel je travaille. Nouveau boulot, possibilité de recommencer à zéro, d'avoir l'œil le plus objectif possible...
    Et pourtant autour de moi, untelle qui me parle de telle et telle personne, untel d'encore d'autres personnes... C'est si facile d'acquiescer à leurs paroles... Et si dur de garder pour moi ce que je pense... Je pense que c'est dans la nature humaine, pourtant j'en vois qui y arrive, ne pas critiquer ouvertement les autres...
    Je te comprends et ne peux que t'accompagner sur cette voie, faisons le ensemble alors !! <3
    Bisous ma puce

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    1. J'pense que parfois c'est normal, on reste humain.
      Mais il faudrait l'éviter au maximum.
      Puis comme je dis, un moment ou à un autre, ça te revient toujours à la figure, d'une façon ou d'une autre

      Oui ! Let's do it !

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  4. Coucou :)

    Tu fais juste les meilleurs articles du monde ! :O
    Tu t'exprimes magnifiquement bien et tu n'écris pas que du bla bla, tu écris des choses hyper intéressantes, toujours agréables a lire et parfois tu nous aide a nous remettre en question.

    Pour ma part, je n'aime pas critiquer les gens, ils sont ce qu'ils sont, ils font ce qu'ils veulent, je n'aime pas le regard des autres sur moi, qu'on me critique je n'aimerais pas ça du tout, c'est pour ça que je ne le fais pas aux autres.

    Enfin voila, bisous et bonne continuation à toi :D

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    1. Mais merci, je suis très touchée par ton compliment :)

      Bon bah du coup, je me sens toute gênée et je ne sais plus quoi te répondre ^^

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  5. Voilà, moi qui voulais faire un dimanche tranquille, sans réflexion qui aille plus loin que "quel thé pour le goûter?" c'est râté.
    En tout cas, encore un article qui touche la cible en plein centre !
    Bravo.
    Si tu continues, tu vas finir grande sage !
    Bisous

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    1. Oh c'est très gentil, mais je pense encore avoir beaucoup de chemin à faire avant de devenir la sagesse incarnée. Après je suis déjà très contente que mes réflexions poussent les autres à réfléchir aussi (même un dimanche après midi à l'heure du goûter :p )

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  6. Je viens de découvrir ton blog et je dois te dire, cet article est tout bonnement parfait.
    Pourquoi? Parce que ce tu relates dedans est simplement la vérité de nous tous, comment nous nous comportons dans la société. Nous sommes tous critiques, avec n'importe qui, nos proches, le boulot, les gens sur le net ou encore les gens qu'on croise dans la rue.
    Et je dis souvent, que les critiques sont bonnes à prendre, bonnes comme mauvaises. Seulement, il faut qu'elles soient par ailleurs, bien argumenter et constructive. pas pour démolir l'autre.
    Cet article vraiment nous permet de nous remettre en question, même si ce n'est pas une partie de nous qu'on aime, nous ne sommes pas parfaits.

    Merci à toi pour cette réflexion. =)

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    1. Et comme j'aime les citations, je te pique celle de Pinterest. =)
      Merci ^^

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    2. Oui voilà, tu as bien résumé.
      Nous sommes en effet tous critique, mais l'idée reste quand même, comme tu dis, d'y mettre une forme, pour éviter de heurter.

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  7. Si on me donne le choux entre quelqu'un qui me dit ce qu'il pense sans savoir y mettre la forme et quelqu'un qui ne dit rien ou ment mon choix est vite faire !! La forme c'est pour les gens qui ne supportent pas la critique et qui se vexe pour une rien. Nous sommes adultes, je ne pars pas du principe que la personne est mauvaise à l'intérieur d'elle-même et donc je parle avec elle pour savoir ce qu'elle a vraiment voulu exprimer et que j'ai possiblement mal compris.

    Il faut aussi savoir arrêter avec l'égo, une critique bien ou mal formulée, si les arguments sont là est forcément une bonne chose à prendre et un moyen d'avancer. Tout le monde n'est pas doué avec les mots mais ça sert à ça la discussion, pouvoir approfondir le sujet !

    On est d'accord, le mec il te sort "t'es qu'une pute" tu vas pas aller chercher plus loin, c'est de la connerie. Le mec qui te sort "ton article est trop nul" là tu vas allez chercher, fouiller la petite bête savoir ce qui ne lui a pas plu. Soit la personne avait de bonnes raisons mais ne savait pas le dire (ça existe) soit c'était de la connerie aussi mais il n'y avait pas de raison de se vexer car rien d'insultant et donc pas de raison de ne pas chercher à savoir.

    Après, chacun voit midi à sa porte et ma porte n'est pas la même que la tienne à ce que je comprend :)

    (Tu vois, là, je ne suis pas énervée et pourtant on pourrait le croire car mon commentaire est un peu sec. Mais c'est ma façon de faire et ça ne doit en aucun cas arrêter les gens de me lire et de prendre en compte ce que je dis. Encore une histoire d'ego et d'accepter de se remettre en question :) )

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    1. Sen lè fote C TLmen miE XD donc :
      -Si on me donne le choix
      -Mon choix est vite fait
      -qui se vexent pour un rien (deux en une !!)
      -tu vas aller chercher

      Et... je crois que c'est bon, arrête moi si j'ai dit du caca !

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    2. Ah oui, en effet, le ton de ton commentaire est relativement sec :)
      Mais du coup je ne suis pas sure de comprendre complètement où tu veux en venir. On en revient à mon article : tu vois, en te lisant, j'ai l'impression qu'il y a un message caché (alors que sûrement que non). Comme quoi, être plus sèche dans sa franchise ne permet pas forcément une bonne réception du message.

      Ce dont il est question dans mon article n'est pas de savoir accepter la critique, mais bien de savoir la formuler. Donc je pense que la dimension "égo" n'a rien à voir la dedans. (tu as l'air d'insister la dessus).
      Je trouve, mais cela reste bien sûre ma vision des choses, que les choses se passent tellement mieux quand on essaye de prendre les sentiments de l'autre personne en compte. Cela n'a rien avoir avec de l'hypocrisie, du mensonge ou le fait de ne pas dire les choses. Juste, cela ne coûte rien de tenter de prendre du recul et de la manière pour dire "je n'aime pas ce que tu fais".
      Tu as toujours l'option de l'humour, du second degré ou de la douceur pour dire les choses. Une personne peut être franche mais douce comme elle peut être franche mais "acide". A choisir, je préfère la première manière. Je ne trouve pas qu'il soit nécessaire de gueuler ou de jurer (par exemple) pour se faire entendre.

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    3. Ok, ce que j'avais compris de ton article (et je crois m'être trompée) c'est que si quelqu'un te faisait un critique constructive mais méchante/sèche (mais pas injurieuse !) tu allais l'ignorer/dégager en mode "toute façon c'est qu'un rageux" et ne prendre en compte que ceux qui y mettent la forme car ça passe mieux.

      Moi qui suis du genre à ne jamais prendre de gants ni à tourner autour tu pot pour introduire ma pensée tu te doutes que je ne suis pas totalement d'accord avec toi :p (mais c'est pas grave). Le seul point que je prends en compte c'est la hiérarchie. Je prendrai des pincettes ou mieux je ne dirais rien si c'est un supérieur dans mon travail et que la critique est vraiment chaude mais à part ça, si la personne est mon "égale" j'y vais cash. Et si la personne se vexe c'est qu'elle n'a vu que la forme ("oh t'as vu ce fromage est tout dégueu, pourri, tout vert") et n'a pas ouvert ses yeux vert le fond ("hey mais ce formage est bon quand même !") (c'est la seule analogie que j'ai trouve, 'scuse ><)

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    4. Ah oui, non, ce n'est pas du tout le message que je voulais faire passer.
      La plupart de mes articles partent d'une réflexion personnel sur ce que je voudrais changer dans ma façon de faire. Toute critique est bonne à prendre, et en général j'en prends compte, mais c'est sûre que si c'est dit de façon très peu diplomate, oui, je vais tiquer.

      Regarde, là tu as pu me dire ne pas être d'accord, j'ai lu ta réponse, tu as lu la mienne et voilà. Pas eu besoin d'agressivité :) C'est là que je voulais justement en venir. On peut tout dire, mais si on le dit sans la forme, il ne faut pas s'étonner que l'interlocuteur s'offusque. Enfin... je crois :)

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